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simonpierre
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Je parle de ce qui est tellement essentiel dans la vie active.
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Blog Medias
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26.11.2010
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la femme congolaise et ses valeurs.

la femme congolaise et ses valeurs.

Publié le 03/03/2011 à 18:24 par simonpierre Tags : roman homme travail nature message dieu image femme femmes tendresse signature fille

Au jour d'aujourd'hui, les femmes congolaises ont oubliées leurs valeurs. ces valeurs qui font d'elles des femmes africaines, dignes et respectueuses, on se pas maintenant distinguer, qui est fillette, jeune fille et femme!

chose étonnante, alors faut-il :

- Une femme vraiment émancipée, selon le sœur Claire Mbuyu, Master en sciences sur la famille et le mariage de l’Université du Latran ?

- - Une femme qui veut se libérer, selon S.E Mgr Mzee Munzihirua, Jésuite et sociologue, archevêque de Bukavu assassiné en 1996 ?

- Une femme qui raisonne comme un homme, selon A. Muyabu N’kulu, juriste, ex-ministre à la Condition féminine et la famille ?

- Une femme qui défend la dignité de la femme, selon Mariama Bâ, romancière sénégalaise ?

- Une femme courageuse, selon Ousmane Sembene, cinéaste et romancier sénégalais ?

Voilà autant de questions auxquelles nous allons nous référer pour tenter de dégager des réponses à notre problème.

Dieu, après avoir créé l’homme, réalisa que son œuvre n’avait pas encore atteint le point d’achèvement car l’homme qu’il venait de créer n’était pas joyeux parce que vivant seul. Il lui donna un être semblable, tiré de sa chair à qui il confia un rôle spécifique « de catalyseur ». Et il l’appela Eva, donc un être féminin.

La vie à l’époque était facile parce que le travail n’existait pas, tout leur était donné gratuitement par Dieu. Ils étaient vraiment maîtres puisqu’ils avaient reçu de Dieu un pouvoir extraordinaire de dominer la nature.

Avec le temps, prêtant l’oreille à l’ennemi de celui qui les avait créés, ils tombèrent dans le piège et comprirent, à partir de ce jour-là, que la nature leur était devenue hostile.

Mécontent, Dieu revint alors vers eux et leur dit : « Désormais, c’est à la sueur de votre front que vous aurez nourriture ». il les chassa ipso facto du paradis.

L’homme, a-t-il été créé plus intelligent que la femme ?

La réponse est non parce que les noms comme Jeanne D’Arc, Madame de Sévigné, Simone de Beauvaire, Marie Curie, Kadima Nzuzi Kanza et tant d’autres prouvent le contraire. Donc l’Eternel a donné la chance égale à tous les deux sexes.

D’où vient alors que l’on parle aujourd’hui plus de la prééminence de l’homme et de l’infériorité de la femme ? Peut-on parler d’un coup d’état opéré par l’homme pour dominer la femme ?

Non, intervient A. Muyabu N’Kulu disant : « …En tant que femme, les difficultés qu’on rencontre généralement résultent du fait qu’on est obligé de prouver une double compétence, celle qu’on partage avec les collègues hommes en raison des connaissances acquises sur le banc de l’école, mais encore celle qui consiste à repousser les préjugés et donc à démontrer que l’on est pas dépourvu d’intelligence à cause de son sexe. C’est pourquoi j’étais touchée chaque fois qu’un de mes chefs, appréciant mes notes techniques, s’exprimait en ces termes : « Elle a le raisonnement d’un homme. Homme, je le suis effectivement si je me réfère au concept latin « homo », mais non lorsque ce concept est rattaché au concept « Vir », mâle… »

Plus loin elle dira : « … Je m’insurgeais contre l’injustice dont les femmes étaient victimes.

Mais l’expérience a fait de moi une féminine plus qu’une féministe puisque j’ai compris que si l’homme a intériorisé la supériorité de son sexe, beaucoup de femmes ont intériorisé l’infériorité de leur sexe. Il faut les aider tous à se libérer et à construire ensemble un monde meilleur…Il n’y a pas un monde propre aux hommes ».

Les femmes congolaises ont-elles compris ce message de l’ex-ministre à la condition féminine ? Raisonnement-elles comme elle ?

Son Excellence feu Mzee Munzihirua a assisté à une discussion entre les femmes victimes, selon leurs propres termes.

L’une d’elles, dit-il, déclarait ce qui suit : « La femme victime est une image psychologiquement si attendrissante que nous avons peine nous en libérer ; se plaindre ; se faire prendre en pitié, demande moins d’effort que de s’assumer pleinement,, de se prouver, de prouver aux autres par l’action ce dont on est capable. Celles qui émergent soignent davantage leur image de marque personnelle, intéressent plus à leur confort intellectuel et matériel qu’au développement de leurs compatriotes villageoises »

Mgr Mzee s’interroge alors : « La femme veut se libérer de qui et de quoi ? de l’homme ? de la société ? ou d’elle-même ?

Pour lui, le vrai problème ce n’est pas seulement celui de la femme. Il reconnaît qu’il y a des conditions économiques et culturelles sous-développées qui insèrent l’homme et la femme, qui les empêchent de se repenser eux-mêmes pour prendre un nouveau départ. Le principal droit, selon cet Evêque serait celui « de l’éducation, de l’instruction, de la libération économique de l’homme et de la femme ».

Le mariage au village est considéré comme une association active où l’homme et la femme apportent chacun sa contribution quotidienne. La femme, au village travaille plus que l’homme : voit le nombre d’opérations qu’elle exécute par jour. Cette valeur est aujourd’hui mise en pratique par les femmes intellectuelles des pays industrialisés. Ces femmes, selon Mzee Munzihirua, rejettent le bonheur de tranquillité dans une consommation sans risque. Elles considèrent comme parasitisme social l’habitude d’attendre tout du mari. Elles veulent exister par elles-mêmes. Pour trouver des solutions aux problèmes de la promotion de la femme pour le développement, il faut élargir les horizons sociaux car on ne peut pas travailler efficacement à l’épanouissement de la femme dans un monde où l’homme est sous-développés ».

Comme nous venons de le voir, la femme pour la territoriale de développement doit être selon la sœur Claire Mbuyi, une femme qui cherche l’épanouissement dans toutes ses potentialités, une femme qui ne cherche pas à devenir un homme, ni physiquement, ni mentalement, ni sur un autre plan ; une femme qui fait tout pour atteindre la plénitude de sa féminité, à la conviction d’être digne de confiance, une femme qui comprend que, même en ayant fait longues et hautes études, elle est encore capable d’être épouse et mère, capable de tendresse pour sa famille, son foyer et tous les siens, une femme qui sait quelle a quelque chose à apporter à l’humanité, quelque chose qui lui est propre, en plus de son rôle traditionnel.

Abondant dans le même sens, Mgr Mzee dira : « Que les femmes n’oublient pas qu’une culture où le sens de la mère est vraiment vivace possède la base de la promotion d’un développement plein de promesse ».

:: Les commentaires des internautes ::

Rachel muyaya le 04/03/2012
pas mal cet article, esperons que la femme congolaise se résaisira à travers lui "l'article"